#Écologie 🌱 Dans les Deux-Sèvres, les bénéficiaires des bassines ne respectent pas leurs engagements
L’agence de l’#eau Loire-Bretagne dresse un bilan «très négatif» des mesures prises par les irrigants bénéficiaires des bassines. Ils auraient dû se lancer dans une «transition agroécologique» mais leurs objectifs ne sont «pas atteints» sur les pesticides et la protection de l’eau potable.
Alors que les réserves d'eau de Mayotte seront vides au plus tard fin octobre au rythme actuel de consommation d’eau (l'eau est déjà coupée 2 jours sur 3), La production de #cocacola sur l'ile continue à mesure de 3L d'eau necessaires pour produire 1L de coca-cola.
À l'heure où le gouvernement s'apprête à dispenser certains élevages intensifs d’évaluation environnementale, une cuve de lisier a cédé vendredi dans une exploitation porcine située à Plogonnec, près de Douarnenez. 🐽 1/
"Les fontaines à #eau potable se font toujours rares, même dans les stations les plus fréquentées.
Stations, #gares, aéroports, centres commerciaux, musées, salles de concert, cinémas, stades, parcs de loisirs, #universités… les établissements recevant du public (ERP) sont pourtant censés être équipés d’au moins une fontaine d’eau potable en accès libre depuis le 1er janvier… 2022.
L’obligation concerne 68.500 ERP, accueillant plus de 300 personnes simultanément."
Retour en #Grèce après qqs années pour raconter plein de choses dans @mediapart ...
Pour commencer : je suis allée dans la grande plaine agricole de Thessalie, là où les inondations historiques de septembre dernier ne résolvent en rien l'épuisement de la ressource en #eau liée à la culture intensive du #coton.
Information « Splann ! » - La pollution du Foul, qui se jette à Landunvez (29), concentre l'attention des opposants à l'élevage intensif. Un riverain a réalisé sa propre étude. Les résultats sont édifiants. 🔬 1/
Pendant que l'on détruit la ressource en #eau et que l'on monte des #megabassines ou des #surfparks on a déjà un avant goût de notre futur ou du moins celui de nos enfants en regardant #mayotte.
Des cultures gâchées, une population gazaouie sans eau potable… Et en toile de fond de la guerre à #Gaza, une extrême dépendance des territoires palestiniens à l’#eau fournie par Israël.
Pour l’#agriculture palestinienne, ce qui se passe depuis le 7 octobre est "un désastre".
Pour @Mediapart je me suis entretenue avec Julie Trottier, chercheuse au @cnrs. C'était éclairant.
À Mayotte, une crise de l’eau prévisible qui risque de s’aggraver
En catastrophe, la France gère une crise de l’#eau pourtant écrite dès le mois de mars. Elle se répétera, car les ressources en eau sur l’île sont inférieures aux besoins. Les projets d’ingénierie se multiplient. Mais les solutions les moins coûteuses et les plus respectueuses d’un #environnement fragile sont négligées.
"En #France le maïs est un gros consommateur d'#eau d’#irrigation, une plante qui a besoin de beaucoup d'eau en juillet et en août quand il y en a le moins", "C'est suite au plan Marshall et l'accès des semenciers américains au marché français ; pour ne pas devenir dépendant des semenciers US, l’État a crée l'INRA, devenu INRAE, développé un maïs hybride, et l'a distribué gratuitement ainsi que l'eau d'irrigation aux agriculteurs, qui n'en voulaient pas", "la PAC donnait une prime à l’#agriculture irriguée du maïs", "c'est un modèle piloté, qui n'est pas durable", "On peut changer de modèle"
Mayotte: des élèves ont bu de l’eau non potable depuis la rentrée, en dépit des alertes
Après avoir assuré, malgré les alertes, que tous les collèges et lycées de l’île étaient reliés au raccordement d’urgence mis en place face aux coupures incessantes sur l’île, les autorités viennent de reconnaître que l’#eau n’est pas potable en plusieurs endroits.
Une température maximale de 33,2°C à Clermont-Ferrand cet après-midi.
(32°C at home, un peu plus loin à l'Est)
+15°C au-dessus des normes 🤔
Le précédent record de chaleur pour un mois d'octobre à Clermont datait du 12/10/1931 (32,2°C)
Encore 30°C à 19h.
La suite en Auvergne (et ailleurs en Europe de l'Ouest) ? De la douceur pendant quelques jours avant un possible retour de la chaleur le week-end prochain, mais surtout :
PAS UNE GOUTTE DE FLOTTE.
Tel qu'on est parti, on pourrait avoir 3 semaines, voire plus, sans un millimètre de pluie. Alors que les derniers mois ont déjà été marqués par un déficit pluviométrique récurrent.
Faut être clair, s'il ne pleut pas cet automne et cet hiver, mais alors vraiment de grosses pluies régulières, et récurrentes, on risque de vivre une situation tout à fait nouvelle concernant la flore et la faune le printemps venu. Sans parler des pénuries d'eau (des restrictions dans l'usage de l'eau en plein hiver ? ça n'a rien d'impossible dans ce nouveau régime climatique. Des coupures d'eau dans les étés à venir ? Faudra s'y attendre. Et qui dit pénurie d'eau dit catastrophe agricole, fucking central nucléaire à l'arrêt ou au ralenti, et j'en passe..)
La révolte des employés d’EDF contre la construction d’un barrage hydroélectrique en plein désert saoudien
C’est acté. EDF va bel et bien bâtir dans les années à venir une centrale hydroélectrique afin d’alimenter Neom, la mégalopole futuriste en construction en plein désert saoudien. Or un grand nombre de salariés de l’énergéticien français s’inquiète de l’impact écologique et humain de ce projet hors-norme, et demande aujourd’hui la création d’« un droit de retrait environnemental et éthique ».
Extrait :
C’est une gronde en interne contre le prochain projet qu’EDF a signé avec l’Arabie Saoudite. Et pour cause, comme l’a révélé (…) la cellule investigation de Radio France, il s’agit pour l’énergéticien français de construire en plein désert, très loin de toute source d’eau, une centrale hydroélectrique afin d’alimenter Neom, cette mégalopole qui doit sortir de terre – ou plus précisément du sable – dans la province de Tabuk, au nord-ouest du pays, d’ici la fin de la décennie.
Neom (…) est un projet lancé en 2017 par le prince saoudien Mohammed Ben Salmane dans le cadre du plan Vision 2030, qui vise à sortir le royaume du tout pétrole. Dans le détail, cette « ville du futur » de 26 000 km2, abritera une station de ski où doivent se tenir les Jeux asiatiques d’hiver de 2029, une « île de luxe » pour les touristes sur la mer, un complexe industriel en partie flottant et enfin « The Line », une ville gratte-ciel haute de 500 m et longue de 170 km entièrement décarbonées.