Comment se passer de Redis et de ses dérivés ? Et bien tout simplement en utilisant PostgreSQL. C'est ce que j'ai fait pour un projet personnel et cette approche m'a vraiment convaincu. Un article pour voir comment je m'y suis pris pour revoir le stockage de mes données volatiles.
@mtparet Franchement, j'ai de très gros doutes sur l'apparition de problèmes avant d'atteindre des tailles assez monstrueuses qui dépassent ce que gèrent 99% des boites. Mais ok, je vais faire un benchmark afin de mettre à l'épreuve nos opinions respectives.
@mtparet Ok, donc j'ai balancé 1 million d'entrées dans chacune des deux tables, UUIDv4 dans l'une et UUIDv7 dans l'autre. Puis j'ai benchmarké, dans chaque table, le select 2000 entrées existantes puis 500 inexistantes. Temps total pour ces 5000 requêtes sur mon laptop : dans les 200 ms. Avec PostgreSQL hein.
Bref, c'est pas ce que j'appelle 3 gus dans un garage et vu les perfs je n'en ai pas grand chose à faire de Redis qui doit très certainement faire encore mieux.
@mtparet Et moi ça fait près de 4 ans que j'enchaîne les contrôles d'organismes divers et variés, de l'entreprise individuelle à la multinationale, de la commune au ministère. Bref, des systèmes d'information j'en ai vu de toutes sortes, et au final ceux qui doivent gérer des milliers de requêtes par seconde il n'y en a pas tant que ça.
@lutindiscret@codelutin Ça doit être possible dans certains cas, mais ça ne l'est pas forcément dans d'autres. Par exemple, pour les jetons à usage unique tels que les jetons CSRF, je ne fais aucun SELECT mais uniquement un DELETE et je regarde le nombre de lignes d'impactées (s'il y en a une c'est que le jeton était valide, zéro c'est que le jeton ne l'était pas). De plus, faire le ménage à chaque requête revient à le faire plus souvent lors des pics d'activités alors que je souhaiterai faire l'inverse.
On dirait que cette année le site des impôts n'aime pas le + dans mon adresse email.
Je n'aime pas faire des suppositions et encore moins juger le travail des autres, mais la série de messages d'erreur que j'ai eue me laisse à penser que tout ce bousin est codé avec le cul.
Cher Gabriel Attal, moi aussi j'ai pleuré en tentant de déclarer mes impôts.
@clementd Sur mon serveur perso j'ai remplacé le + par le point afin d'éviter ce genre d'embêtements.
Ho, et je suis toujours super content de mon système Sake, c'est pratique, ça marche vrai bien et utilisé avec le point comme délimiteur je n'ai jamais eu de soucis d'acceptation de mes adresses.
L'utiliser permet de virer un pipe :
grep ".{4}" "ma_liste.txt" | grep -Pv "[^A-Za-z]" | shuf -n 6 | paste -sd " "
Petit point d'attention : si comme moi tu as configuré certains alias (par exemple sur grep) il se peut que tu doives utiliser le chemin absolu vers le binaire (genre /bin/grep). Dans mon cas, ayant un « -n » dans mon alias grep, ça m'ajoute le numéro de ligne ce qui contient des caractères en dehors de des lettres et exclue donc tous les mots.
Dans l'idéal il faudrait un véritable projet dédié qui maintienne une liste de mots en sachant s'il s'agit d'un nom, verbe ou adjectif puis essayes de construire un semblant de phrase avec. Ça a l'air assez fun à faire.
@mbess Ce midi j'ai eu pas mal d'idées sur comment faire ça correctement et ça m'a donné envie de me pencher plus en détail sur le sujet. Après tout, les mots et phrase de passe sont un peu devenus ma spécialité. La seule chose qui me manque pour commencer c'est un nom pour ce projet.
Et voila, j'ai envie de faire ça en Rust, avec une lib commune pour le cœur du projet puis un exécutable en CLI et un avec une interface graphique.
Pour l'instant, l'auto-hébergement sur une instance à inscription fermée n'est pas super pratique pour un logiciel libre. Mais une fois que Forgejo aura implémenté la fédération de forges ce sera nettement mieux.
@clementd Yep. Lors du crash d'un TU-144 au Bourget en 1973, toutes sortes d'agents secrets se sont rués sur l'épave, dont des agents Français qui y ont prélevé un train d’atterrissage. L'analyse de la composition chimique de l’alliage métallique de cette pièce révélât qu'il était totalement identique avec celui que l'usine SNECMA (aujourd'hui Safran) de Bois-Colombes utilisait pour le concorde. Bref, le développement du TU-144 a profité de l'espionnage industriel et a pompé « quelques » trucs au concorde.
@clementd C'est l'argument qu'ils avaient déjà avancé pour la forme de l'avion, argumentant que les lois de la physique sont les mêmes pour tout le monde. Déjà que sur ce point je ne suis personnellement pas super convaincu vu le nombre de designs d'aéronefs et munitions supersoniques qui existent, mais alors pour qu'en plus l'alliage soit exactement le même, là il n'y a plus aucun doute possible. C'est un peu comme si tu disais avoir « par hasard » généré la même biclé RSA que celle d'une AC d'un root store. Dans la théorie c'est possible, mais en pratique… https://www.youtube.com/watch?v=IAov0TOK4DQ
Vous vous en fichez mais je découvre qu'il y a un résolveur #DNS public en Inde (apparemment géré par le registre du .in) et il a une bonne adresse #IPv6 (et elle répond aux ICMP echo).
Comme quoi les adresses IPv6 ne sont pas forcément plus longues et plus dures à mémoriser que les adresses IPv4.
@insolit Attention, il ne faut pas confondre la conformité au RGPD avec la possibilité de transférer des données vers un pays étranger hors-UE, ce sont deux choses bien différentes. L'établissement d'une entreprise hors-UE ne présage en rien de sa conformité et tant qu'elle ne transfert pas les données qu'elle traite autre part elle n'a pas à se soucier des décision d'adéquation.
S'agissant du transfert des données à destination d'un pays hors-UE, il y a 2 manière de le faire en respectant le RGPD :
le pays en question bénéficie d'une décision d'adéquation (totale ou partielle), ce qui permet d'y transférer les données sans formalités supplémentaire sur la base de l'article 45 du RGPD.
Si le pays en question ne bénéficie pas d'une décision d'adéquation, il reste possible d'y transférer les données sous réserve de garanties appropriées, ce qui est détaillé à l'article 46 du RGPD.