@clementd Yep. Lors du crash d'un TU-144 au Bourget en 1973, toutes sortes d'agents secrets se sont rués sur l'épave, dont des agents Français qui y ont prélevé un train d’atterrissage. L'analyse de la composition chimique de l’alliage métallique de cette pièce révélât qu'il était totalement identique avec celui que l'usine SNECMA (aujourd'hui Safran) de Bois-Colombes utilisait pour le concorde. Bref, le développement du TU-144 a profité de l'espionnage industriel et a pompé « quelques » trucs au concorde.