Le premier fournisseur d’énergie de l’Allemagne était la Russie jusqu’en 2022.
Le premier partenaire commercial de l’Allemagne était… la Chine jusqu’à cette année 2024.Désormais… ce sont les Etats-Unis !
Ce n’est pas franchement une surprise n’est-ce pas.
Les Etats-Unis sont dans une véritable guerre commerciale et souhaitent prendre des parts de marchés.
Nous sommes, nous l’Europe, ces parts de marchés.
Quel #Iran après Raïssi ? | L'Essentiel du Dessous des #Cartes | #ARTE
Les cérémonies pour les funérailles du président iranien Ebrahim #Raïssi, mort dans un crash d’hélicoptère, ont débuté ce mardi 21 mai 2024. L’occasion de dresser un état des lieux de l’Iran, pays clef du #Moyen-Orient : crise économique, répression du mouvement Femme Vie Liberté, et rôle majeur dans les conflits régionaux.
Robert Kiyosaki predicts BRICS new currency will destroy the US dollar
Robert #Kiyosaki predicts #BRICS new currency will destroy the #US#dollar - The dollar is dying. And the BRICS group's proposed new currency will be the perpetrator that fires the final and fatal shot. As a result, everyone is better off investing their hard-earned #money in various alternative asset classes to be adequately prepared for the inevitable day the US dollar comes crashing down. These are the chilling words of Rich Dad Poor Dad author, Robert Kiyosaki, one of the world’s most trusted names in personal finance and investing. Kiyosaki’s chilling prophecy has sent shockwaves through the financial world, with many asking the same question: Are we truly on the cusp of a new world order where BRICS's upcoming currency will dethrone the US dollar as the dominant global reserve currency?
Robert Kiyosaki said in a series of tweets made on X on Sunday, May 19th, 2024, that the US dollar is at risk of losing its status as the global reserve currency immediately after the BRICS alliance establishes its proposed new currency. He tweeted: “Currently in South Africa a country I love. Watching and listening to rumours of what will happen when BRICS nations, Brazil, Russia, India, China, and South Africa produce BRICS crypto, possibly backed by gold. If BRICS gold crypto happens trillions in fake money, fiat US dollars will come rushing back to home to America causing hyperinflation in America, ultimately destroying the US dollar, he said.” The renowned personal finance author proceeded to recommend his usual blend of investments, advising: “Best Buy real #gold, #silver, and #Bitcoin now, and protect yourself from the crash of the US dollar.”
Norbert Röttgen : Une nouvelle ère géopolitique – comment l’ #Allemagne doit réagir - WELT
Mathias Döpfner a discuté des thèses de son livre lors d'un événement organisé par l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale (IfW) avec le président, le professeur Moritz Schularick. Norbert Röttgen a prononcé ce texte comme discours d'ouverture du débat.
Dans son livre, Mathias Döpfner appelle à repenser radicalement notre compréhension de la politique commerciale. Alors qu’en Allemagne, nous considérons traditionnellement la politique commerciale comme un instrument essentiellement économique qui favorise avant tout la prospérité et optimise l’allocation des ressources, Döpfner suggère une nouvelle voie : la politique commerciale comme une géopolitique normative.
Döpfner propose une idée concrète : remplacer l'Organisation mondiale du commerce (OMC), dans laquelle la Chine a pu devenir la deuxième économie mondiale grâce à de nombreux privilèges et exceptions, par une nouvelle alliance commerciale d'économies démocratiques. La condition préalable à l’adhésion est le respect de trois critères : l’acceptation de l’État de droit, des droits de l’homme et des objectifs climatiques contraignants. Cette alliance permettrait à ses membres de commercer en franchise de droits. Les non-membres seraient soumis à des tarifs élevés. L’objectif est de renforcer les économies démocratiques et d’inciter les autocraties à s’ouvrir librement.
Du point de vue de la manière dont nous menons actuellement notre politique commerciale, cette approche est une provocation. Dans d’autres parties du monde, cependant, c’est une pratique de longue date. Si vous demandiez au président chinois Xi Jinping s’il préfère la perspective économique ou géopolitique allemande traditionnelle, il se moquerait probablement d’une telle question. En Chine, la politique commerciale fait clairement partie intégrante de la géopolitique et sert d’instrument de politique de puissance. Cela contraste fortement avec notre vision souvent naïve, qui sous-estime traditionnellement les dimensions géopolitiques du commerce.
Le paysage international tel qu’il s’est développé depuis la Seconde Guerre mondiale est remis en question par la montée en puissance de la Chine et son ambition de changer l’ordre. Cela a conduit à une nouvelle ère de rivalité géopolitique qui non seulement remet en question la domination américaine, mais présente également à l’Europe de nouveaux défis décisifs.
La résistance aux changements majeurs et la lenteur de la réaction politique que nous connaissons souvent en Allemagne ne doivent plus déterminer nos actions. Le livre de Mathias Döpfner est un plaidoyer important pour que nous ne puissions plus ignorer ce changement géopolitique. Il s’agit d’un appel qui exige que nous considérions notre politique commerciale non seulement comme un instrument économique, mais également comme un instrument stratégique et normatif crucial pour garantir nos intérêts géopolitiques à long terme.
En ce sens, il est temps pour l’Allemagne de repenser sa politique commerciale et de jouer un rôle plus actif et plus décisif dans l’évolution de l’ordre mondial. Le livre de Döpfner appelle à une adaptation rapide et réfléchie aux réalités d'un monde qui a déjà profondément changé. Il ne s’agit pas d’une conclusion, mais plutôt du début d’un débat attendu depuis longtemps en Allemagne. Dans cette optique, je voudrais soulever une question stratégique, pratique et économique qui découle de l'approche du livre et au-delà.
La question stratégique clé à laquelle il faut répondre est de savoir si une approche géopolitique normative crée par inadvertance un ordre mondial bipolaire qui va à l’encontre de nos intérêts. Alors qu’il faut renforcer les États libres économiquement puissants, nous devons nous demander si nous ne divisons pas le monde entre « nous contre eux ».
Selon les calculs de Döpfner, cette alliance couvrirait 70 pour cent du PIB mondial et 65 pour cent des dépenses militaires, mais ne représenterait qu'un peu plus de la moitié de la population mondiale. Une telle démarcation pourrait en réalité inciter la Chine à étendre son influence dans les régions que nous négligeons.
Qu’est-ce que cela signifie pour les États africains et arabes, qui sont essentiels à l’architecture de sécurité mondiale et à la stabilité de l’Europe ? L’intérêt de l’Inde à vouloir faire partie d’une alliance de libre-échange est également tout sauf certain. Ces questions doivent être soigneusement étudiées afin de ne pas créer par inadvertance des désavantages stratégiques.
Sur le plan pratique, il s’avère que les idées géopolitiques que nous avons se heurtent souvent aux réalités politiques. Sous l’administration de Donald Trump, par exemple, nous avons vu avec quelle rapidité les tendances protectionnistes peuvent prendre le dessus et comment les États-Unis peuvent montrer peu d’intérêt pour une alliance basée sur le libre-échange. La politique « America First » et l’Inflation Reduction Act (IRA) mettent en lumière les défis auxquels sont confrontés les accords commerciaux internationaux.
Ces exemples démontrent la contradiction inhérente entre les idéaux du libre-échange et les politiques pratiques, qui sont souvent motivées par des intérêts nationaux à court terme. Nous connaissons déjà un phénomène similaire dans le cadre de la politique climatique internationale, à laquelle tous les grands pays industrialisés se sont engagés sur papier, mais qui, dans la pratique, reste souvent en deçà des objectifs à court terme.
Sur le plan économique, nous sommes également confrontés à des questions importantes : dans quelle mesure est-il réaliste de dissocier la politique commerciale des principes traditionnels d’allocation efficace des ressources ? Pouvons-nous nous permettre de restructurer nos chaînes d’approvisionnement établies pour prendre davantage en compte les considérations géopolitiques ? Ces discussions sont cruciales pour l’orientation future de notre politique économique.
Ukraine : la Russie reprend la main ? | L'Essentiel du Dessous des Cartes | #ARTE
Avec le remplacement de Sergueï #Choïgou par Andreï #Belooussov à la tête du ministère des Armées, Vladimir #Poutine semble vouloir envoyer le signal d’un nouveau souffle dans la conduite de sa #guerre contre l’ #Ukraine. Depuis quelques jours, la #Russie tente de reprendre la main avec une offensive autour de #Kharkiv, une région symbolique et stratégique. Sortons nos cartes.
La #Géorgie est aujourd'hui déchirée entre un gouvernement pro-russe et une présidente, Salomé #Zourabichvili, tournée vers l’ #Europe. La #Russie de #Poutine d’un côté, l’Union #européenne de l’autre : deux modèles politiques, deux systèmes de valeurs que tout oppose. L’occasion pour nous de célébrer un anniversaire : il y a vingt ans, l’Union européenne s’ouvrait à l’Est. Sortons nos cartes.
#Europe de l'est : quel élargissement ? | L'essentiel du Dessous des #Cartes | #ARTE
La #Géorgie est aujourd'hui déchirée entre un gouvernement pro- #russe et une présidente, Salomé #Zourabichvili, tournée vers l’Europe. La #Russie de #Poutine d’un côté, l’Union #européenne de l’autre : deux modèles politiques, deux systèmes de valeurs que tout oppose. L’occasion pour nous de célébrer un anniversaire : il y a vingt ans, l’Union européenne s’ouvrait à l’Est. Sortons nos cartes.
Rivalité États-Unis - Chine : la géopolitique au cœur de la guerre #économique
A priori, la #guerre économique que mènent les États-Unis contre la Chine relève principalement du domaine des #technologies. Mais en réalité, c’est surtout une question de géopolitique car celui qui veut dominer le monde doit maîtriser les #infrastructures de #communication. C’est le cœur de la bataille qui oppose #Pékin à #Washington. Pour en parler, Ali Laïdi s'est entretenu avec Benjamin #Bürbaumer, économiste, maître de conférences à Sciences Po Bordeaux et auteur du livre "Chine - États-Unis, le capitalisme contre la mondialisation" (Ed. La Découverte).
Geopolitics of metals: which strategic chessboard ?
The #ecological and digital transition requires high consumption of #metals. In this regard, the #economic and geopolitical recomposition of the #markets for #metallic#raw#materials testifies to the #strategic interest of these resources for the great powers, in particular #China, the United States, #Russia but also #SaudiArabia which wishes to develop its mining power. How can we explain the recent increase in metal prices? What are the ambitions of the European Union ( #EU ) in this area? What are the upcoming developments in the metal #raw materials markets? Elements of response with Emmanuel Hache, research director at #IRIS, specialist in questions relating to #energy#forecasting and the #economy of natural resources ( #energy and #metals).
How will #China respond to the US, #Philippines drills in the South China Sea? | #DW News
The United States and the #Philippines are set to begin their annual ‘ #Balikatan ’ – or “ shoulder-to-shoulder” - #military exercises. These are the most expansive military drills yet, and come amid a rise in tensions between #China and the Philippines.
This year’s drills will include the first-ever military exercises held outside of Philippine territorial waters, in the South China Sea. Those are waters are partly claimed by #Beijing. The US and the Philippines have a longstanding mutual defense treaty and at a recent summit in #Washington, US President Joe #Biden said his country’s commitments to Manila were “ironclad”.
▶ Pierre #CONESA est haut #fonctionnaire, #énarque, #historien, et également spécialiste des questions stratégiques internationales, en particulier militaires. Il est l'auteur de "Vendre la guerre : le complexe militaro-intellectuel" ou encore "État des lieux du #salafisme en #France" aux éditions de l'Aube.
Dans cet entretien par #OlivierBerruyer pour #Élucid, Pierre Conesa analyse les #mécanismes implicites de la #guerre, décrypte les #conflits actuels et multiplie les exemples concrets et sans langue de bois, afin de nous aider à mieux cerner le fonctionnement des #propagandes, nécessaires pour #vendre les #guerres qui ne cessent de sévir partout dans le monde.
As I#srael considers its response to #Iran's attack and continues to fight its war against #Hamas in #Gaza, there are fears over where these regional tensions could head. The international #community is observing with great interest how Arab nations in the region now react. It's a complex part of the world with many rivals, both #political and #religious, vying for influence. Israel's neighbor #Jordan and regional heavyweight #saudi arabia both appeared to help defend Israel from Iran's #missiles - to the surprise of many. Both countries are involved in a complicated balancing act, making it difficult to predict their future #actions.
Although Iran looks weak and Israel very strong i think Israel military planners are worried (as they should be) about Iran's response after the coming Israeli attack. How large will it be, will Hezbollah from Lebanon participate etc. They will not underestimate the uncertainty and chaotic nature of war i hope.
Let's not forget Iran's strategic position (geographically), they can seriously harm trade and oil supply routes for example.
@ErikJonker@lil_meow_meow@jonburr Social networks are open for everyone, he has the right to post what he wants like everyone else the criticisms that you share are useless you have to respect others so that it respects you
It's the most-dangerous moment in geopolitics since the dawn of the #Ukraine#war
#US President Joe #Biden told #Israeli prime minister #Benjamin#Netanyahu during a call today that the US will oppose any Israeli direct #counterattack against Iran, according to an Axios report that cited a 'senior White House official.'
Two things:
If the US doesn't want a war, this makes sense. Aside from #oil prices, I can see plenty of reasons that Biden wouldn't want this war now.
Could this be a smokescreen? Things like this don't 'leak' out of the White House. This would be some of the most-highly classified information on the planet. So was it leaked to pressure Israel? To lower expectations of the US actually getting involved? Or is it a fake to get Iran to let its guard down?
The answer to that might have to do with what was said behind closed doors when Iran briefed the US, Italy and a number of other countries before its response.
An aerial #assault was launched by #Iran against #Israel overnight: The #Israeli#army says more than 300 #missiles and #drones were fired. It is the first time Iran has launched a direct #military attack on Israel despite decades of hostility.
There's been calm over #Jerusalem and #tel aviv in the wake of the barrage. Almost all the missiles were intercepted by Israel and the #US . The #UK and Jordan have also shot down #drones. Air raid sirens sounded across Israel. The Iranian #Revolutionary Guard says the assault was in retaliation for an #attack on its #embassy in #Syria on April 1st which #killed 16 people including several #Iranian generals. What considerations will Israel have to take into account as it decides how to respond? How difficult will it be for Israel and the US to agree on a clear response to this attack?
If it decides to retaliate, will Israel be able to drum up enough support? And can it respond without the US' support?
Les arguments #fallacieux des ultras pro-israéliens
Une série d'arguments d'ultras pro-israéliens ont été avancés depuis les attentats du 7 octobre pour justifier les bombardements qui durent depuis 6 mois à #Gaza.
Ainsi, le motif de la légitime défense a longtemps été utilisé pour soutenir toutes les attaques de #Tsahal faites sur Gaza, bien que contraires au droit international #humanitaire et constitutives de #crimes de #guerre. Par ailleurs, pour certains, #Israël aurait un passe-#droit#démocratique face à des acteurs qui ne le sont pas. Sauf que les démocraties n'ont pas tous les droits, mais au contraire des obligations, à commencer par appliquer les injonctions qui leur ont été adressées par la communauté internationale. Comment expliquer que plus d'enfants ont été tués en quatre mois par une démocratie qu'en quatre ans de guerre dans le monde entier ?
Entre avril 1994 et juillet 1994, au moins 800 000 #Tutsis et des #Hutus modérés ont été violemment massacrés par des mouvements Hutus #extrémistes suite à la mort du président Hutu #Juvénal#Habyarimana le 6 avril 1994. Paul #Kagame, le président #rwandais, qui avait mis fin au #génocide, a longtemps accusé la #France de complicité avec les génocidaires, notamment parce qu'elle avait formé l' #armée rwandaise puis retiré ses troupes du territoire en décembre 1993. En 2021, la Commission #Duclert avait conclut à "un ensemble de responsabilités lourdes et accablantes" de la France au #Rwanda. Aussi, le devoir de #mémoire envers la population rwandaise est un enjeu crucial pour la France, qui a multiplié, à commencé par Nicolas #Sarkozy, les tentatives de réconciliation avec Paul Kagame, toujours au pouvoir. À l'occasion du 30e anniversaire du début du génocide, E. #Macron, qui avait déjà fait un pas vers la reconnaissance de la responsabilité de la France, devait évoquer le manque de volonté de la France de mettre fin au #massacre. Il n'aura finalement pas prononcé ces mots. S'il existe un devoir de mémoire pour les #victimes passées, il existe aussi un devoir d'empêcher et de prévenir les crimes de génocide lorsque ces risques apparaissent. Pour autant, c'est une réponse a posteriori qui semble être privilégiée par la communauté internationale, celle des discours de commémoration des victimes. iris-france.org/185426-genocid…
L’« histoire sanglante » de la prétendue alliance de défense
Cette année marque le 75e anniversaire de l' #OTAN. A cette occasion, le chef du Conseil de sécurité #russe a donné une interview dans laquelle il a expliqué sans détour la vision de la Russie à l'égard de l'OTAN.
À l'occasion du prochain 75e anniversaire de l'OTAN, Nikolaï #Patrouchev, président du Conseil de sécurité #russe, a accordé une interview à un journal russe , dans laquelle il a présenté la vision russe de l'OTAN. J'ai traduit l'interview.
« Histoire sanglante » : Nikolai Patrushev explique ce qu'est devenue l'OTAN en 75 ans
Le 4 avril marque le 75e anniversaire de la fondation de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolai Patrushev a expliqué à aif.ru quel rôle cette alliance a joué dans la politique mondiale et comment son objectif principal est devenu « l'endiguement » de la Russie.
Question: Nikolaï Platonovitch, les chefs des Etats membres de l'OTAN prévoient de célébrer cet anniversaire en juillet lors du sommet de l'alliance à #Washington. Mais dans le reste du monde, beaucoup ne feront pas la fête, car à leurs yeux, cette organisation a acquis la réputation de principal agresseur mondial au cours de ces 75 années. Êtes-vous d'accord?
Patrushev : Jugez par vous-même : l'anniversaire de la fondation de l'OTAN a pratiquement coïncidé avec le 25e anniversaire du bombardement à grande échelle de la #Yougoslavie, lorsque les avions de l'Alliance de l'Atlantique Nord ont massacré sans pitié des personnes non armées sous couvert de « défense des droits de l'homme et de la démocratie ». .» Les bombardements ont tué plus de 2 500 personnes et blessé plus de 12 000 civils. Le bilan exact des #victimes de l'opération n'a pas encore été déterminé. L'utilisation de munitions à l' #uranium appauvri a entraîné une contamination des sols et une multiplication par plusieurs des cas de cancer parmi la population, qui continuent de tuer des personnes un quart de siècle après l'agression de l'OTAN.
L’OTAN a mené plus de 20 opérations #militaires majeures au cours de ses 75 années d’existence. En outre, certains pays de l'alliance ont participé à plusieurs reprises à des coalitions militaires en dehors du bloc formé par les États-Unis pour satisfaire leurs ambitions mondiales dans diverses régions du monde - au #Vietnam, en #Irak, en #Libye, en #Afghanistan et dans des dizaines d'autres #conflits#armés. Il est donc ridicule que le bloc tente de nier et, plus encore, de passer sous silence les faits de destruction de villes et de pays et de meurtre de milliers de civils.
Je ne m'étendrai pas sur l'histoire sanglante de l'OTAN, mais il est nécessaire de la connaître pour comprendre la nature de l'alliance en tant que source stable et perpétuelle de danger, de crise et de conflit.
Question : Selon le texte du Traité de l'Atlantique Nord, l'alliance n'est pas seulement une alliance militaire mais aussi politique. Selon vous, quelle est sa #politique ?
Patrouchev : Toute la politique de l'OTAN est basée sur les instructions de Washington. Washington utilise l’alliance pour maintenir sa présence armée en #Europe et pour démontrer que ses #satellites soutiennent son caractère indispensable pour assurer la sécurité de ce continent. En outre, le bloc militaire contrôlé par les #États-Unis vise à exercer une pression indue de la part du soi-disant « Occident collectif » sur les États souverains du monde en utilisant des moyens militaires, économiques, informationnels et autres.
L’OTAN est utilisée comme instrument par Washington pour mener des « #guerres hybrides ». Ses membres suivent docilement les instructions visant à imposer des #sanctions économiques, à « geler » des ressources financières, à mener des activités de renseignement, des opérations psychologiques et des #cyberattaques, et à participer à des actions visant à saper et à désorganiser le système d'administration d'État des pays qui ne se conforment pas à la politique #anglo-saxonne. Les #Saxons sont d'accord. L’alliance n’hésite pas à utiliser les organisations terroristes pour servir ses intérêts.
Question: On sait que douze pays d'Europe et d'Amérique du Nord ont initialement rejoint l'OTAN pour contrer l'influence de leur précédent allié dans la coalition #anti-hitlérienne, l'Union #soviétique...
Battalion Chief Ludovic C. is an officer in the #Army and notably served in the #mountain#troops.
November 30, 2030. Twilight. A hail of #ballistic#missiles from #Russia falls on Finnish Lapland. Within hours, #airports, #military bases and energy installations were destroyed, plunging the country into chaos. After the polar night, it is the red night which now envelops #Finland. On the morning of December 1 , the world woke up in shock. A crisis meeting is called in Brussels, and NATO triggers regional plans. At the same time, the XIV Arctic Combined Arms Army (AIA), with four divisions and 80,000 men, crossed the border into Lapland, completely overwhelming the Finnish units. Less than five years after the end of the Ukrainian conflict, which weakened #NATO, #Europe is once again plunged into war.