Dévoilé en janvier par des opposants à l’A69, un projet de modernisation du réseau ferroviaire entre Toulouse et Castres pourrait être une alternative sérieuse à la construction de l’autoroute.
Une association de #chasse se créé dans ma commune, et je sens bien que ses soutiens sont en avance sur ses opposant·es, et qu'on risque fort de se faire avoir.
Des conseils de contacts pour être aidé·es / de points de vigilance à avoir ?
En particulier : la mairie a annoncé l'enquête publique dans 2 jours, une tactique spécifique à adopter ?
#Écologie 🌱 A69: un rapporteur de l’ONU vient au chevet des opposants
Le rapporteur spécial des Nations unies sur les défenseurs de l’environnement s’est rendu jeudi sur un site occupé par les opposants au chantier de l’#A69, dans le #Tarn, où rien n’a été fait pour dissimuler la brutalité de la répression en cours.
Le rapporteur spécial de l'ONU sur les défenseurs de l'environnement se rend dans le #Tarn sur les lieux de répression sur les militant⋅es contre l'A69
Le rapporteur spécial des Nations unies sur les défenseurs de l’environnement s’est rendu jeudi sur un site occupé par les opposants au chantier de l’ #A69, dans le #Tarn, où rien n’a été fait pour dissimuler la brutalité de la #répression en cours.
Salut à toustes !
Mon Amie @Sandy81 cherche un logement de toute urgence dans le Tarn (Gaillac, Albi, Graulhet, Lavaur). Un T2 minimum, budget max 500euro, meublé ou pas et surtout où les animaux sont admis.
Merci de la contacter en mp #logement#Tarn#aide
Jusqu’ici, on n’avait entendu que la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs ou presque. Les deux syndicats ultramajoritaires ne sont cependant pas les seuls à manifester. Dans le #Tarn, la #ConfédérationPaysanne passe aussi à l’action mercredi 24 janvier 2024. Mais à sa manière, sur la future A69 #autorouteCastresToulouse…
Depuis 7 heures du matin, des agriculteurs occupent en effet le rond-point de #Puylaurens où se croisent la RN126 et la RD12 à #SaintGermainDesPrès.
> La préfecture du Tarn a lancé ce dimanche une intervention, à Saïx pour évacuer les occupants d'une "zone à défendre" (ZAD) installée près de maisons expropriées.
"Le climatologue toulousain, membre du Giec, rappelle l’anachronisme du chantier d’autoroute entre Castre et Toulouse et s’inquiète de voir les responsables politiques ignorer la rationalité scientifique."
"Nous avons compris que, de manière délibérée et donc assumée, les faits scientifiques sont soit minorés soit tout simplement non pris en compte."
"Ça nous inspire de l’inquiétude parce que ce projet est emblématique d’une forme de découplage entre économie /social d’un côté, et climat /biodiversité de l’autre, comme s’il fallait choisir entre les deux. On ne négocie pas avec les lois naturelles de la physique et de la biologie ; on doit inscrire nos décisions et nos actions économiques et sociales dans leur cadre intangible. De manière générale, le discours entendu correspond à celui qui émerge un peu partout aujourd’hui, à savoir à un déni multiforme de la gravité des impacts du changement climatique et l’incapacité d’incarner ce que représentent les dixièmes de réchauffement futurs en termes de risques.
L’ensemble conduit à un déni de vulnérabilité et entretient une forme de climato-rassurisme, du «climato-ça-va-le-faire» alors que nous sommes dans une période cruciale, car l’ampleur des changements de demain dépend des choix et des actions d’aujourd’hui. Ce projet-là est d’autant moins compatible avec la baisse nécessaire des émissions de gaz à effet de serre, inscrite dans la loi, la Stratégie nationale bas carbone, qu’en Occitanie, la part du transport dans les émissions totales est bien plus grande que la moyenne nationale, plus de 40 % contre 30 % environ. L’effort pour décarboner ce secteur doit donc être encore plus important dans notre région que dans d’autres."
"La nécessaire bifurcation ne relève pas de l’avis personnel de chercheurs ni d’une opinion politique, elle se fonde sur l’évaluation scientifique constituée par les rapports du Giec, eux-mêmes traduits dans les accords internationaux, tel l’Accord de Paris en 2015, puis décliné dans la loi française via la Stratégie nationale bas carbone et enfin évalués par le Haut conseil pour le climat. Ce dernier dit très clairement que la France n’est pas à la hauteur et doit aller deux fois plus vite en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre avec un très gros point noir qu’est le secteur des transports. Comment atteindre les objectifs avec une nouvelle autoroute qui prévoit une augmentation du trafic et s’inscrit dans un développement territorial et une mobilité toujours centrée sur la voiture individuelle ? Il est nécessaire de favoriser d’autres modes de transport, en cohérence avec de nouveaux modes de vie, plus sobres, qui rapprochent les lieux de travail, ne détruisent pas le foncier agricole, bref de développer le territoire en se gardant de plaquer des schémas anciens dont les limites sont connues. L’A69 est en fait un projet «test», dans la mesure où il permet d’évaluer si les enjeux environnementaux sont bien pris en compte, au-delà des mots car le climat se fiche des promesses et ne répond qu’aux actes."
Une visite scolaire sur le chantier de l’#A69 aux "vertus écologiques" : le syndicat d’enseignants Sud Education Tarn dénonce une propagande autour du projet routier :