J'ai commandé une pizza dans un restaurant français, et j'ai dû me retrouver dans une dimension parallèle, ou alors aux USA, parceque la pizza est tellement énorme qu'elle ne tient pas sur la table.
Je vais mouroir.
en faisant ma déclaration d' #impots, j'apprends que l'installation d'une borne de charge de véhicule électrique dans sa résidence secondaire donne droit à un crédit d'impots...
Notre évolution culturelle et biologique doit être continue : ✔️
Après avoir déconstruit l'idéal de la Nature et démontré qu'elle suit la mécanique froide de la sélection naturelle dont nous en sommes les survivants, que la Nature ne fait pas forcément bien les choses, Marc-André Sellosse parle de l'évolution culturelle.
Il commence fort en abordant la question de la transistion écologique avec le glyphosate, pesticide reconnu cancérigène. Il est sur un champs de grandes culture qui pratique l'agriculture de conservation : sol couvert, culture intercalaire qui l'enrichie en azote ou l'aère.
Sauf qu'on utilise du glyphosate. Pourquoi ? La méthode bio consiste à broyer la culture sauf que ya du chiendent, ça repart quand on le coupe en petit morceau. Donc faut surtout pas broyer les cultures, ce n'est pas une bonne méthode. On utilise donc l'herbicide le glyphosate et le sol reste vivant. Comparé au laboure, d'après le test du slip en coton, il détruit moins le sol.
Ce fut l'intro de son essai sur la transistion. Pour lui, il faudrait écrire des transistions. En effet, dans son exemple, ya 2 agricultures :
L'une sans pesticide qui détruit le sol et le vivant avec le labour.
L'autre avec du pesticide, sans labour qui garde le sol vivant.
On ne peut donc voir la transistion comme un bloc unique car en fonction des paramètres nous sommes appelé à pratiquer une agriculture adapté à son environnement et que chaque transistion/évolution en a appelé d'autres.
Le labour, était une transistion utile qui a permit de réduire les famines en europe au XIX sciècle. Puis, nous avons vu les dégats sur le sol, cela a appellé une autre transistion : l'agroécologie.
(Lecture en cours, partie évolution culture en phase d'assimilation)
Nos habitudes culturelles se heurtent à celui de l'évolution. Ainsi le glyphosate qui était un herbicide perdra ses effets car le vivant s'adapte, un immobilisme face à l'évolution.
Aparté : On pourrait imaginer que le voile anti-insecte en agroécologie selectionne des insectes nains, que la toile tissée favorise des plantes ryzhomes. De là, il faut imaginer perpétuellement d'autres systèmes et non y voir une unique solution.
Les solutions de demain en appeleront d'autres car le vivant s'adapte. La culture influence la biologie, et la culture influence la biologie. Selosse nous invite à développer une pensée bioculturelle et pencher d'avantage sur les mécaniques de l'évolution pour trouver des solutions qui s'adaptent au vivant.
En tout cas c'est intéressant de noter que du point de vue de la vie du sol, dans certains contexte, le désherbant peut faire moins de mal que le labour.
il paraît que @nos_oignons recrute
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Exemple de tâches courantes:
Conseil d'administration : comptabilité légère, rédaction des rapports moraux et financiers (une fois par an),…
Adminsys : gestion de relais, et mises à jour occasionnelle, administration du site et des services annexes associés comme les emails,…
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J'ai appris l'occitan (avec sa graphie normalisée) avant le français.
Quand dans un deuxième temps j'ai dû apprendre le français, je me suis demandé pourquoi on maltraitait autant les gens qui veulent lire et écrire cette langue.
Cette vidéo me fait un bon flash d'un peu plus d'un quart de siècle.
L'état veut passer l'agriculture dans les "métiers en tension" ce qui permettra d'importer de la main d’œuvre docile et de respecter encore moins le droit du travail.
L'agriculture n'est pas en tension. Les salaires et les conditions de travail sont pourris. Si le travail était proposé dans des conditions et avec des salaires dignes, il n'y aurait aucun problème pour embaucher, sans importer de la main d’œuvre.
J'aimerais que quand je me déplace en vélo, mon émotion la plus forte ne soit pas la peur des automobilistes qui ne respectent pas le code de la route (et qui mettent ma vie en danger).
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