Aujourd'hui je suis allée au Service historique de la Défense (lieu de ouf au Château de Vincennes) pour consulter le dossier de mon grand-père concernant ses activités dans la Résistance. Moment solennel et enrichissant. #archives#généalogie
Les Archives Arolsen : collection de fichiers et documents concernant 17,5 millions de personnes, victimes à divers titre des persécutions nazies : déportés, déplacés, prisonniers de guerre, etc..
J'y découvre plusieurs membres de ma famille, prisonniers de guerre...
notamment Sidney, mort de tuberculose à l'infirmerie du Stalag IV-G à Oschatz... inhumé dans le cimetière de cette lointaine et charmante ville de Saxe.
Les noms de #famille - Les "casate" - vont se stabiliser entre 1770 et 1800. Auparavant, les gens étaient appelés par leur prénom, suivi du prénom de leur père.
Meine Vorfahren hießen Toporzisek und das bedeutet poln "Hämmerchen"
Der Name wurde teilweise eingedeutscht in Hammerschmied/-schmitt und auf Geburtsdokumenten sah das immer ziemlich lustig aus und stiftete manchmal auch Verwirrung.
Dasselbe gilt zum Beispiel auch für den Namen Besanowski, der zu Bessler wurde.
Grands-parents sur soleil couchant hivernal, devant la pointe de Men Meur (#Guilvinec)
Ma grand-mère voulait voir une dernière fois le Guil, la maison où elle était née, Men Meur et les Etocs. Je les ai emmené en décembre 2006 (au passage j'ai rarement eu aussi peur en voiture, mon grand-père n'ayant pas voulu me laisser le volant comme prévu...)
Les familles Biguais, Coïc et Georgelin ont été évacuées de la poche de Saint-Nazaire, fin 1944 ou début 1945, je ne sais. De cet épisode ma grand-mère se souvenait avoir dormi dans la paille, et d'avoir croisé un beau soldat afro-américain. Le 8 mai 1945, ils prennent la pose devant le pont d'Ingrandes (Maine-et-Loire).
Mon grand-père maternel fabriquait des escaliers en bois (entre autres). Chaque enfant a eu droit au sien. Parmi les photos familiales, peu de réalisations photographiées, si ce n'est celle-ci, prise sous 3 angles différents.
Gâteau à la crème pour l'anniversaire de Jean (mon grand-père) 🎂
Habituellement, c'était plutôt les gâteaux armoricains au menu. Pas de date, mais avant 1994 car sa mère est toujours là.
Ma grand-mère Irma (dite Simone) est aide-infirmière à Blois à partir de 1937. En 1941, elle passe le certificat d'aide médico-sociale de la Croix-Rouge française 💉 🏥
Pendant ce temps-là, son futur mari Louis parcourt les charpentes de France... tour interrompu par la guerre
Sphères.
Un ballon qui traîne, sur 3 des 4 plaques de verre de la série.
Des chapeaux fleuris.
Des visages souriants.
Moi qui tourne en rond pour savoir où, quand et qui, si ce n'est Annette Burande (1853-1916), marchande aux halles de #Paris, aïeule à la 6e génération, et sa voisine dont le profil ressemble tellement à ma mère. Voire au mien.
Avant de faire des escaliers, Louis était charpentier (jusqu'à la chute d'un toit). Parmi quelques photos non identifiées, j'aime particulièrement celle-ci.
Mes grands-parents maternels habitaient "en Vienne" (quartier de Blois, sud-Loire). Pour rejoindre le centre de la ville, il fallait traverser le pont Jacques-Gabriel, sous les bombes à une certaine période. Jusqu'à ce qu'il soit en partie détruit le 16 août 1944.