On y voit deux choses intéressantes :
1- Une financiarisation croissante de l’économie, avec des #dividendes versés de plus en plus importants, jusqu'à la crise des #subprimes de 2007/2008
2- On y voit aussi qu'au niveau agrégé national, le flux net de financement par le capital est toujours (très) largement en faveur du capital.
A l’échelle France, et donc en moyenne, le #capital coûte bien plus cher aux entreprises que ce qu'il leur apporte.