À titre personnel, je suis contre toutes les écoles privées reposant sur un enseignement confessionnel : cathos, juives, musulmanes ou pastafarienne, toutes.
Mais défendre la "laïcité" en diffusant des tissus de mensonges c'est se tirer une balle dans le pied, à moins que ce ne soit qu'un prétexte de plus pour un rant contre l'islam.
Ici, #CharlieHebdo repousse encore un peu plus les limites du journalisme de propagande et de la désinformation.
"...(le lanceur d'alerte) Bruno Casari prévient la journaliste (de Charlie) le 14 juillet, lui livre un rapport d’inspection (qui n’évoque ni les Frères musulmans ni le moindre sujet « séparatiste ») et le contact d’un policier.
Le contradictoire est effectué le 20 juillet, et la journaliste publie son article le 21 juillet..."
Si ça, c'est pas du grand journalisme d'enquête !
Cette phrase du procureur de la République de Valence vaut aussi son pesant loukoums :
"Vous ne pouvez pas juger les écrits de « Charlie Hebdo » comme si c’était ceux de n’importe quelle publication."