Suite du feuilleton sur la politique équatorienne en vue des élections en #Équateur le 20 août. L'épisode d'aujourd'hui est dramatique.
Fernando #Villavicencio candidat à l'élection du 20 août a été assassiné aujourd'hui 9 août, visiblement de trois balles dans la tête par des professionnels à #Quito, après un meeting. Il laisse une épouse et 5 enfants.
Je ne sais pas ce que prévoit la loi, si un candidat est tué l'élection peut-elle être maintenue ? Ça semble tellement difficile...(1/3)
C'est encore un cran supplémentaire franchi par le crime organisé, il y a bien sûr les centaines de morts des affrontements entre groupes dans les prisons, les assassinats en pleine ville, restaurant, plage qui font aussi des victimes qui étaient juste au mauvais endroit, il y a 2 semaines le maire de Manta (grande ville et grand port) a été tué avec une autre victime «collatérale», une jeune footballeuse. (2/3)
Un candidat à la députation a aussi été tué le 17 juillet, maintenant un candidat à la présidence, Où cela va-t-il s'arrêter ? Comment le pays va-t-il se relever de tout ça ? C'est la première fois que le crime organisé affecte autant la société équatorienne, honte à ceux qui se sont payés de mots tout en démantelant les structures qui permettaient de contenir le phénomène.
(3/3)
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